la grande montée

Cela faisait déjà un peu de temps que le chemin s'était peu à peu rapetit pour ne plus former qu'un petit sentier étroit à flanc de montagne. Ca et là, de graviers tombaient du chemin sous les pas du hobbit...ou de son petit dragon, qui peinait à suivre son maître.
Léon s'était promis qu'il ne ferais pas de pause avant d'avoir atteint le plateau auquel on ne pouvait accéder que par ce sentier mais commencait à le regretter et son ventre le lui faisait sentir. Il s'apprétait à se résigner à son sort quand il rencontras le veil homme...un vieux loup solitaire, une hache dans le dos et apparrement extenué et blessé à plusieurs endroits.Une lueur de folie brillait dans ses yeux.

-hola voyageur! Savez vous si le plateau est encore loin?

-oh non! il n'est pas loin, continue ta route mais prend bien garde à toi.

-mais...pourqu...

Léon n'eut pas le temps de finir sa phrase que le vieillard l'avait presque dépassé. Quand il passat à côté de l'homme, il semblat au hobbit que l'atomsphére s'était rafraîchie et le viellard lui imposait, il ne savait pas pourquoi, une sorte de respect.Groque couina quand l'inconnu passat à côté de lui et il ne restat bientôt plus que de l'homme le rire bizzare et plein de vieillesse qui sortait de sa bouche.

Le loup était affamé, il chassait avec les autres membres de sa meute. Les prédateurs étaient bien adaptés au climats et l'étroitesse du chemin leur était égale et ils sentaient de loin la chair tendre et fraiche du petit homme et de son compagnon dodu.
La proie n'était plus qu'à un tournant et les prédateurs savaient tous ce qu'il fallait ce qu'ils devaient faire.Le premier prit la tête et se jetat là ou devait se trouver sa proie.Devrait.Car ce b'était pas tout à fait la proie qui s'y trouvait mais ce qui lui servait d'arme: une grosse batte en fonte.
Le premier prédateur tombat dans l'abîme qui se trouvait de l'un des côtés du chemin. Le deuxiéme, lui, fût pris entre l'arme meurtriére et l'autre côté du chemin: une parois de pierre.

-saloperie de chiens! Il puent et ils attaquent nimporte comment!

Les autre membres de la meute, au nombre de trois purent mettre au point rapidement une position défensive sur le peu de place qu'offrait le chemin. L'étroit passage donnait l'avantage au hobbit (un peu comme aux thermopyles quoi...).

Léon avait senti venir les carnassiers. A juste titre: il puaient.
Le premier loup de la formation sautat en avant suivit par deux autres. Léon attrapat le premier par la gorge et le poussat dans le gouffre pour se retrouver nez-à-nez avec les deux autres loups qui le jetérent à terre et s'apprétérent à le mordre à la gorge. Groque avait tout vu et se jetat sur l'un des prédateurs.La tête du loup fut promptement écrasé par le poids de l'animal.Puis ce fut au tours de l'autre prédateur qui tombat, comme l'un de ses prédécesseurs, dans l'abîme au dela du chemin.
Aprés cet altercation plutôt délicate, dont léon ne s'en sortit pas indemne, de la faute aux loups qui avaient déja commencé à enfoncer leurs griffes dans sa chair avant l'intervention de Groque, le hobbit et son compagnon atteignérent le plateau.

Le plateau était une vaste étendue herbeuse, déserte d'homme et d'êtres humanoïdes. Il y avait, par contre, une foule de petits êtres ressemblants à des moutons bipédes à l'êtat sauvages.
Léon traversat le plateau avant de se reposer. Il entassat un tas de bois sec, qu'il avait ramassé aux pieds des petits arbres qui poussaient avec difficultée, et l'embrasat pour faire cuire la corps de l'un des êtres qui peuplait ce plateau.
La chair de l'animal était nourrissante et suffit au petit dragon et au hobbit. Puis les deux compagnons dormirent dans une corniche creusée dans la paroie que Léon devrait ensuite braver, seul. Car c'est ce que lui ordonnaient les voies qu'il entendait dans sa tête depuis qu'il s'était résolu à faire cette ascension. Il les entendaient encore une fois de plus ce soir dans ses rêves.

Léon laissa, avec une grande tristesse, le dragarz derriére lui pour la grande ascension de l'épine rocheuse pour arriver au sommet ou se trouvait le village des frêres de Groque et son but dont il ne savait encore rien. Le hobbit se demandait même pourquoi il devait laisser le petit dragon avant d'aller au sommet.
Léon trouvat un petit chemin trés escarpé mais ce dernier finit bientôt et le halfling dût se résoudre à escalader le reste de la parois dont il ne voyait pas la fin, du moins avant de trouver une corniche ou un coin où se reposer. Bien ses blessures de la veille soient sur la bonne voie pour cicatriser elles lui faisait quand même un peu souffrir et c'est avec un grand soulagement qu'il pût s'arrêter quand il débouchat sur une petite grotte.
Il y avait encore fort à monter mais ses mains étaient écorchées par la nature aiguisées et rugueuses des roches qui formaient la parois et il avait faim. Il posat donc son sac et déballat une tranche de viande de l'un de ces étranges mouton qu'il avait vu sur le plateau.

Le hobbit avait fini de manger et s'apprétait à reprendre son ascenscion quand il remarquat une petite bête dans le coin de la caverne. Léon fut d'un coup frappé: c'était la réplique presque parfaite de groque. Le dragarz l'observait et une lueur brillat dans ses yeux.

*tu veut atteindre le sommet c'est bien ça?*

Léon ne comprenait plus rien.
Eceque Groque était capable de faire cela aussi? le cachait il? ou l'avait-il seulement oublié ou effacé volontairement de sa mémoire?
Il fallait qu'il eclaircisse tout ça lors de la descente du mont.

oui, en effet, pouvez vous m'aidez?

*en effet je le peux, si tu me défend lors de ce voyage quelquepeu dangereux je peut t'emmener au sommet*

c'est ainsi que léon suivit le dragarz dans un tunnel qu'il n'avait pas remarqué.Il avait pris soin de prendre son briquet à amadou. Mais ce la ne servait à rien: les tunnels étaient éclérés d'une étrange lueur bleutée et l'on y voyait très bien.

Les couloirs étaient étroits et Léon ne voyait pas ce qu'il pouvait avoir de dangereux. En effet: cela fesait bientôt deux heures qu'il voyageait dans les tunnels guidé par le dragarz en croisant parfois d'autres tunnels. La lueur bleue n'avait pas faiblies et rien ne semblait prévoir ou suciter un danger imminent.

"c'est quoi exactement ce que tu crains?"

*une espéce dangereuse qui vit dans ces tunnels: des "vordakabas" (scusez pour le nom...c'est dans l'instant...comme tout les reste de mes rp d'ailleur XD) ce sont des bêtes horribles qui menacent parfois notre peuple.*

"ah...finalement l'est pas si acceuilant que ca ce tunnel..."

Au détour d'un tunnel, la dangerosité des lieux fut démentie: un vordakabas se dressait devant eux dans le tunnel. C'était une bête immense tout rose dont le corps, qui ne faisait qu'un avec la tête, était long et occupait la plupart du diamétre du tunnel. Le monstre se déplait en rampant et semblait être avaugle mais apparemment il ne fallait pas se fier aux apparences.

"t'aurais dû me dire que c'était un gros verre de terre...

...bon bhen...si faut y aller...

KAYAaAaAaAaA!!!!"

Et léon se jetat, une fois de plus aveuglément, sur le monstre qui se tenait devant lui

La grosse bête ne scillat pas lorsque la batte lu cognat la tête. Elle se contentat d'avancer et d'essayer d'étouffer le halfling. Les coups de poing du halfling ne servait à rien et rebondissaient sur la chair rose et molle du monstre.

"Hé le drigarz! Tu pourrait pas m'aider?"

*il est immunisé à la magie et je suis un piétre combattant...il te faut quelque chose de coupant!*

Un sourrire inquétant illuminat le visage du halfling. Il se démenat pour rester hors de portée du monstre pour ne pas être étoufé et saisit dans son sac une cjope de lancer...puis il se laissat avoir par le monstre. Sous le ventre de la chose, Léon dut faire vite et brisat sa chope par terre.Puis il prit un bout de verre ainsi obtenu et commencat à couper.

Le monstre semblait agoniser malgrés sa victoire sur le hobbit.
Le drigarz n'y comprenait rien jusqu'a ce que Léon sort dans le dos du vers, un gros bout de verre à la main, en affichant un sourrire radieux.

"j'crois qu'jlai eu non?"

*en effet...continons donc, nous ne somme plus loin du sommet.*

Au bout d'un moment le tunnel débouchat sur un étrange village. Léon n'en coyait pas ses yeux. Cet endroit était magnifique. C'était donc cela le sanctuaire des drigarz.

(suite: le village des drigarz)

» La grande épreuve